Lovely Ugly

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Chapitre 10 : Are we all we are

Bonjouuuuuur !!!! Je tiens à dire qu'aujourd'hui j'ai eu le temps de finir mon programme (le programme de l'histoire hein !!! xD) et j'ai l'honneur de vous dire que cette histoire aura environ 70 chapitres !!!! Hum hum.... J'ai conscience que ça fait un peu beaucoup... Je vais voir si je peux réduire ça ^^'

Bref, j'ai de nouveau la pêche et suis hyper motivée !!! Je vous propose donc le dixième chapitre, en espérant qu'il vous plaise !!!!! ;)

Bonne lecture !!!!

 

Chapitre 10 : Are we all we are

 

Elexa

 

Non mais quel imbécile ! Il cherchait la guerre ou quoi ?

Calme-toi Elexa, c'est un abruti.

Après quelques grandes inspirations, j'enveloppai une petite serviette dans mes cheveux et sortis de la pièce. Mais, ô surprise, l'imbécile était encore dans le couloir à rire comme une baleine, le nez dans son tee-shirt. Je mentirais si je disais que je n'avais pas lorgné sur son ventre musclé. Totalement imberbe, son torse était bien musclé, formant des tablettes de chocolat tout à fait appétissantes.

Elexa !

Je me ressaisis et me dirigeai vers ma chambre. Il n'était pas si craquant que ça finalement...

Menteuse.

Il était plus que craquant, il était sexy à tomber. Oui, je le reconnaissais. Con comme une pelle, mais carrément sexy. Ces cheveux châtains étaient mouillés et tombaient sur son visage légèrement bronzé. Quelques perles d'eau roulaient sur ses joues, dans son cou, pour continuer leur chemin sous son maillot. Une fossette prononcée prenait vie sur sa joue quand il souriait. Ce qu'il faisait.

  • Me tenterais-tu ?

Je me retournai d'un seul coup. Qu'est-ce qu'il venait de dire ?

  • Tu rigoles ?

  • Je remarque que tu as la fâcheuse tendance à tout prendre pour une plaisanterie... Non, je ne rigole pas. Tu te balades avec pour seul vêtement une petite serviette blanche, de quoi exciter n'importe quel mâle.

Mon dieu, il était vraiment sérieux ? Je me giflai mentalement. Il avait raison, je répondais toujours par ''c'est une blague ?'' ou ''tu te fous de moi ?''. Encore une mauvaise habitude.

  • Le pire, c'est que tu n'as pas l'air de t'en soucier. Ou alors tu le fais exprès ?

  • Quoi ? demandai-je, ne l'ayant pas vraiment écouté.

Il se rapprocha lentement de moi, l'allure féline. Il était le lion, j'étais la proie. Quel stéréotype. Je n'étais pas du genre à me laisser faire. Je me ferais peut-être dévorer, mais dignement. Je ne le lâchai pas des yeux tandis qu'il envahissait mon espace vital. Ces yeux étaient verts. Je l'avais déjà remarqué auparavant mais ne m'étais pas rendu compte de leur attraction. Ils pétillaient encore de malice quand il me détailla. Il faisait au moins une tête de plus que moi et je devais me dévisser le cou pour le regarder. Ce que je n'aurais peut-être pas dû faire. Son regard était fixé sur mes lèvres, comme s'il comptait m'embrasser dans la seconde qui suivait. Non, pas m'embrasser. Me dévorer. L'image du lion et de sa proie se rappela à moi. Inconsciemment, je me passai la langue sur la lèvre inférieur. Ses yeux se firent plus pénétrant, plus ardent. Je ne pus me retenir de considérer sa bouche. Charnue, elle était tout aussi attirante que le reste.

  • Me tenterais-tu ? répéta-t-il, la voix plus rauque cette fois.

  • Et si c'était le cas ? ripostai-je.

  • Alors je ne réponds plus de rien.

Malgré moi, mon cœur s'emballa. Ce n'était qu'un jeu, pas de quoi s'enflammer ! Comment j'allais me sortir de là...

Son doigt se posa sur ma clavicule et y traça de petits cercles langoureux. Nos yeux ne s'étaient pas lâchés et je distinguais nettement une lueur d'espièglerie dans les siens. Petit à petit, son doigt passa sur mon épaule, descendit le long de mon bras, remonta et continua sa course sur le côté de ma poitrine. Ma respiration se fit plus rapide tandis qu'il continuait ses caresses de plus en plus sensuelles et insistantes. Je bénis ma serviette de bain d'empêcher un contact à même la peau. Cependant, quand sa main passa sur mon ventre, cette maigre consolation s'envola. Sa paume était brûlante, elle me brûlait, m'embrasait même. Quand il atteignit finalement mes hanches, je décidai de mettre un terme au jeu. Tout à fait consciente de ce que je faisais, je me tournai et me dirigeai vers ma chambre. Sa main était passée accidentellement sur mes fesses lorsque j'avais pivoté. La porte claqua un peu plus fort que je ne l'aurais voulu, détruisant ainsi l'espoir de paraître indifférente. Je m'y appuyai et basculai la tête en arrière. Qu'est-ce que c'était que ça ?

Dans quoi tu t'es fourrée...

Il ne fallait plus que cela se reproduise. Non que cet incident n'ait une quelconque répercussion sur cette relation. On ne pouvait même pas parler de relation, plutôt d'agacement mutuel. Oui, c'est ça. Agacement mutuel.

Dans tous les cas, cette situation ne pouvait pas se réitérer.



01/05/2014
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